Escalade

Dans la salle d’escalade, des prises colorées sont installées à la place de rochers.

L’escalade est mon divertissement sportif préféré.
Au Japon, elle est de plus en plus populaire ces derniers temps. Nous voyons souvent des émissions à la télévision qui la présentent, notamment depuis les Jeux olympiques de Tokyo en 2021 où deux athlètes japonaises sont montées sur le podium.

Moi, je m’y suis initiée la première fois, il y a 10 ans, aux parcs des Gaillands Chamonix en France, dans le but de pouvoir escalader des montagnes d’un niveau difficile. 

Actuellement, pour mon plaisir, je préfère l’escalade à l’alpinisme.
J’en fais presque 2 fois par semaine, habituellement dans des salles d’escalade en ville.

Personnellement, je préfère le « lead climbing », qui nécessite une stratégie, au « bouldering ».

Le « free climbing » (l’escalade libre) a deux types : le « bouldering », escalade de rochers de 3 à 5 m sans corde, et le « route climbing », escalade de rochers de plus de 10m en utilisant une corde avec une autre personne qui, au sol, l’assure, « bilayer ».
Dans le « route climbing », il y a aussi deux styles.
Un style est le « top rope » : on escalade avec la corde pendue sur un rocher (il faut donc que quelqu’un la prépare au départ ). Le « bilayer » tire la corde.
L’autre style est le « lead climbing » : on escalade en fixant soi-même la corde à  des boulons déjà installés sur le mur. Le « bilayer » donne du mou à la corde.