Le mont Ashiwada

Le mont Fuji depuis le mont Ashiwada

L’autre jour, j’ai gravi le mont Ashiwada, situé dans la préfecture de Yamanashi. Ce sommet offre une vue imprenable sur le mont Fuji et fait partie des montagnes agréables à parcourir.

Il culmine à 1 355 mètres d’altitude. La montée, assez raide au départ, m’a paru particulièrement difficile, car cela faisait longtemps que je n’avais pas fait de randonnée. Après un peu moins d’une heure d’ascension continue, le sentier est soudainement devenu plus doux, le paysage s’est ouvert, et j’ai aperçu le mont Fuji.

C’était une magnifique journée, juste avant la saison des pluies, et le mont Fuji se dressait dans toute sa splendeur.

Cette ascension faisait partie d’une reconnaissance en vue d’une excursion avec un groupe français prévue en août. J’espère que le temps sera aussi beau ce jour-là !

L’ascension continue pendant environ une heure sur une pente assez raide.
Après l’ascension, vous pouvez continuer à admirer le mont Fuji en marchant.

La route de Shimanami : Shimanami kaido à vélo

C’est très agréable de faire du vélo en regardant la Setonaikai, toujour calme, et des îles.

Il y a quelques jours, juste avant la saison des pluies, j’ai fait un voyage dans les préfectures d’Hiroshima et d’Ehime dans le but principal de traverser à vélo la Shimanami kaido, qui enjambe la mer intérieure (Setonaikai en japonais).
Cette route relie plusieurs îles avec des ponts qui se trouvent entre Hiroshima et Ehime. Elle est bien munie d’une piste cyclable de 70 km, et est considérée comme “la terre sainte des cyclistes” !

Cette fois-ci, j’étais contente d’avoir choisi un vélo électrique car il y a plusieurs pentes, de temps en temps assez raide.
Grâce à ça, je n’étais pas très fatiguée après la randonnée, mais faire du vélo pendant longtemps me fait mal aux fesses !

Yokochô

Lorsque vous visitez des quartiers populaires à Tokyo, comme Shibuya, Shinjuku ou Ueno etc., il est conseillé de découvrir des ruelles, appelées « yokochô » qui signifie littéralement « quartier à côté ». Ces « yokochô », qui se trouvent derrière les grandes rues, sont bordées de bars, d’échoppes, de bouis-bouis ou de gargotes, chacun est minuscule, faisant moins de 20m2, et proposant un nombre très limité de place : entre 4 et 7 personnes peuvent s’y installer. Le soir, les allées sont très animées et encombrées d’habitants et de touristes.

Elles gardent une ambiance de l’ancien Tokyo du 20ème siècle, avant l’essor économique dans les années 60. À l’origine, la plupart de ces ruelles étaient mal réputées pour être un lieu privilégié pour le marché noir.

Habituellement, les bars de ce coin sont fréquentés par les habitués ou les gens qui sont présentés par un client régulier. Ils acceptent rarement les nouveaux venus.

Mais ces derniers temps, ce type de quartier est souvent présenté dans les guides touristiques, ces « yokochô » sont devenues très populaires même chez les étrangers et un peu touristiques.